• AGARTHA SHAMBALA

     

    AGARTHA SHAMBALA

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    IL ETAIT UNE FORET

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    IL ETAIT UNE FORET

     


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    LA FEUILLE AU VENT

    LA FEUILLE AU VENT

    LA FEUILLE AU VENT

     

    De la tige détachée

     

    Pauvre feuille desséchée,

     

    Où vas-tu - Je n’en sais rien.

     

    L’orage a brisé le chêne

     

    Qui était mon seul soutien

     

    De son inconstante haleine.

     

    Le zéphyr ou l’Aquilon

     

    Depuis ce jour me promène

     

    De la forêt à la plaine,

     

    De la montagne au vallon,

     

    Je vais où le vent me mène,

     

    Sans me plaindre ou m’effrayer ;

     

    Je vais où va toute chose,

     

    Où va la feuille de rose

     

    Et la feuille de Laurier.

    LA FEUILLE AU VENT

    LA FEUILLE AU VENT

     

    LA FEUILLE AU VENT


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    Le soleil sous la mer, mystérieuse aurore,

     

    Eclaire la forêt des coraux abyssins

     

    Qui mêle, aux profondeurs de ses tièdes bassins,

     

    La bête épanouie et la vivante flore.

     

    ******

     

    Et tout ce que le sel ou l’iode colore,

     

    Mousse, algue chevelue, anémones, oursins,

     

    Couvre de pourpre sombre, en somptueux dessins,

     

    Le fond vermiculé du pâle madrépore.

     

    ******

     

    De sa splendide écaille éteignant les émaux,

     

    Un grand poisson navigue à travers les rameaux ;

     

    Dans l’ombre transparente indolemment il rôde ;

     

    Et, brusquement, d’un coup de sa nageoire en feu

     

    Il fait, par le cristal morne, immobile et bleu,

     

    Courir un frisson d’or, de nacre et d’émeraude.

     


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    Quelque part en Bretagne...

     

    Il était une fois,

    Une merveilleuse légende,

    Il était une fois,

    Une forêt enchantée, Brocéliande,

     

    Royaume de l’imaginaire,

    Des conteurs et croyances populaires,

    Me voici, quelle aventure,

    Sur les traces du Roi Arthur,

     

    Théâtre des fées et des magiciens,

    Cet endroit unique a également abrité,

    Les amours de Viviane et de Merlin,

    Lié par un sortilège pour l’éternité,

     

    Pour commencer ce beau voyage je suis arrivée,

    Sur le site mythique de la Fontaine de Barenton,

    Où pour la première fois se sont rencontrés,

    L’Enchanteur et sa belle avant de s’aimer à l’unisson,

     

    Fou d’amour, à Concoret il édifia pour elle,

    Toute en cristal, une citadelle,

    Mais la Dame du Lac par sa passion dévorée,

    Ne put bientôt du temporel se contenter,

     

    Forte du savoir que lui inculquât le magicien,

    À la Fontaine de Jouvence elle envoûte Merlin,

    De 9 cercles magiques il fut ainsi emprisonné,

    Si épris qu’à jamais il se laissât enfermer,

     

    On ne peut que compatir à la triste fin,

    De ce personnage hors du commun,

    Condamné à rester pour toujours,

    Au bien nommé Val Sans Retour,

     

    En poursuivant ma route, j’ai découvert,

    Un lieu tout à fait extraordinaire,

    L’Arbre d’or où le Miroir aux fées dans lequel,

    Se reflètent les caprices du ciel,

     

    La brume et le soleil,

    À travers le feuillage,

    M’offraient une vision exceptionnelle,

    De cet étrange paysage,

     

    Maintenant penchée au-dessus de l’Étang des Forges,

    Je crus voir en son reflet un visage,

    Ma tête d’idées foisonne et regorge,

    Mais dit-on Morgane n’est jamais loin du rivage,

     

    Puis dans les sous-bois j’entendis,

    Comme de légers craquements,

    Suivis de rires et de petits cris,

    Serait-ce le bruissement du vent ?

     

    Ou bien les pas d’un petit lutin,

    Ceux de la fée Morgane,

    Peut-être le sieur Merlin,

    Ou encore sa muse Viviane ?

     

    Il régnait ici une ambiance particulière,

    Une bien curieuse atmosphère,

    Où ma galopante imagination,

    M’emportait dans un tourbillon,

     

    J’avais soudain la fièvre,

    Pensez que j’aurais pu rencontrer,

    Le Chevalier Lancelot ou la Reine Guenièvre,

    Mais je délire totalement envoûtée,

     

    Je me faisais encore quelques frayeurs,

    À l’idée de croiser la silhouette de l’Enchanteur,

    Ce n’est certes pas arrivé,

    Mais j’avoue que le charme a opéré,

     

    Ce parcours insolite fut captivant,

    Et même si cette histoire est une légende,

    Elle m’a permis de rêver, tout simplement,

    Au cœur de la Forêt de Brocéliande !

     

     


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