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    Oser être heureux

     

    Oser être heureux

     

     

    Oser être heureux

     

     

     

    Oser être heureux

    c'est accepter de l'être tout de suite.

    Oui ! sans conditions, à l'aube de chaque instant,

    en étant capable d'accueillir simplement

    l'inouï du présent.

    Être heureux c'est savoir entrer dans le fragile

    et l'éphémère de l'événement, de s'accorder avec lui

    dans le meilleur de ce qu'il recèle.

    Etre heureux c'est être à la fois le réceptacle et

    le don dans l'immédiateté d'un regard,

    l'intensité d'une intention, la liberté d'un geste.

    La clef du bien-être ne doit pas être confondue

    avec la recherche du bonheur,

    elle est dans l'acceptation inconditionnelle

    du meilleur de soi dans la RENCONTRE

    avec le meilleur de l'autre

    Quand je sais dire oui ou non,

    sans me blesser ou me culpabiliser.

    Quand je sais entendre et recevoir

    le oui ou le non de l'autre comme étant bien le sien.

    Quand je sais sans réticence accepter mes possibles

    et me différencier de ceux de l'autre.

    Quand je sais me respecter et me définir

    face aux valeurs et croyances parfois

    si éloignées des miennes.

    Un bonheur se reçoit et s'amplifie

    dans l'imprévu d'une RENCONTRE,

    dans le rire d'un partage,

    dans l'étonnement d'un abandon.

    Quand je cherche à l'emprisonner

    dans la répétition ou l'exigence,

    il se dérobe et se perd à jamais.

     

     

    Oser être heureux

     

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    Le loup blanc

     

    Le loup blanc

     

     

    Le loup blanc

     

    Le loup blanc, celui qui est si rare qu’il est assimilé à un mythe. Et pourtant …

     

    Il était une fois une famille qui vivait dans une cabane à l’orée de la forêt. Les parents et leur deux fils y menaient une vie rude, dont ils ne se plaignaient pas. Ils étaient à l’abri et si leur nourriture était frugale, du moins ne souffraient-ils pas de la faim

     

    Une fois les hommes partis au travail, la mère s’inquiétait, redoutant les accidents assez fréquents parmi les bûcherons. Elle ne se détendait qu’en entendant les voix des hommes rentrant au coucher du soleil. Parfois, ils chantaient ou sifflaient sur le chemin, alors elle souriait car elle savait que la journée avait été bonne.

     

    Un jour, après le départ des hommes, on gratta à la porte. La femme ouvrit : à quelques mètres, un loup blanc était assis sur son arrière-train, un loup blanc qui la regardait intensément. Effrayée, elle referma l’huis et verrouilla la porte.

     

    Quand les hommes rentrèrent, le père s’étonna devant la porte fermée. « Eh ! Quoi femme, c’est une nouvelle manie ? » dit-il.

     

    « Tantôt, un loup blanc est venu gratter à la porte et j’ai eu peur, alors je l’ai verrouillée. »

     

    Le mari s’esclaffa : « Elle est bien bonne celle-là. Les loups blancs n’existent pas. Mon père et mon grand-père ont travaillé toute leur vie dans la forêt et jamais, vous m’entendez, jamais n’en ont vu. »

     

    Le souper achevé, il sortit et alla inspecter les environs. On n’est jamais trop prudent. Il rentra. « Femme, tu as rêvé, il n’y a aucune trace de loup près de la maison. »

     

    Le lendemain, à la même heure, on gratta à la porte. Malgré ses bonnes résolutions, curieuse, elle entrebâilla la porte. Il était bien là, assis à la même place. Vite, elle referma la porte. Un peu plus tard, elle n’y tint plus et entrouvrit la porte, rien qu’une fente, juste assez pour voir. Il était toujours là.

     

    Elle n’osa rien dire à son mari par crainte de ses moqueries. Les jours passèrent et régulièrement, le loup blanc, après avoir gratté à la porte, s’installait à proximité. Petit à petit, la femme s’accoutuma à sa présence et alla même jusqu’à laisser la porte entrouverte mais le loup ne bougeait pas.

     

    Un jour, il ne vint pas, la femme s’inquiéta ; à plusieurs reprises, alla voir sur le seuil et finalement se sentit déçue sans trop savoir pourquoi.

     

    Le lendemain, quand elle entendit un grattement à la porte, son cœur fit un bond de joie et elle se précipita pour ouvrir. Le loup se leva, fit quelques pas, s’éloignant, s’arrêtant, se retournant, l’invitant par son attitude à le suivre. Comme il semblait inoffensif, elle sortit, le suivant à distance. Arrivé aux premiers arbres de la forêt, il s’arrêta de nouveau. Elle fit encore quelques pas, puis un reste de prudence l’arrêta. Elle n’allait quand même pas suivre un loup, même blanc, dans la forêt !

     

    Le loup revint sur ses pas et lentement, prudemment, se coucha à ses pieds. Ce geste de soumission la toucha jusqu’aux larmes et imperceptiblement, elle se pencha, avançant la main pour caresser la toison immaculée. Alors que sa main l’atteignait, l’animal disparut et la main ne rencontra que le vide.

     

    Interdite, elle demeura immobile un long moment puis, à pas pesants, regagna la cabane.

     

    Le jour suivant, à l’endroit où le loup s’asseyait, une grosse touffe de perce-neige fleurissait.

     

    La femme s’en approcha et, tendrement, du bout des doigts, effleura les corolles blanches.

     

    Y avait-il un loup ?

     

    Qui sait ?

     

    Bien des choses ne laissent pas de trace tangible et existent pourtant, n’en déplaise aux matérialistes.

     

    Le loup blanc

     

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    Le tailleur de pierres

     

     

    Le tailleur de pierres

     

     

     

    Pierre était tailleur de pierres et se disait parfois que son prénom avait déterminé le choix de son métier.

     

    Pourtant, il n’était pas heureux, il jalousait les puissants car il était de caractère envieux. 

    Un jour, il vit passer le roi sur son bel étalon noir. « Ah, s’écria-t-il, si seulement je pouvais être roi, je serais comblé ». La fée de la montagne l’entendit et, sur le champ, le changea en roi : la couronne d’or, le manteau de pourpre, tout était là, même le pur sang noir qu’il enfourcha, se lançant en un galop effréné. Rapide comme la flèche, il franchit une longue distance et arriva dans un endroit où soufflait un vent violent, qu lui arracha sa couronne.

    Pierre se dit : «  je voudrais être le vent, je serais encore plus puissant ». 

    A peine le vœu formulé, il fut réalisé. Transformé en tornade, il jubilait, arrachait tout ce qu’il pouvait, les feuilles des arbres, qui grondaient de mécontentement, des chapeaux à en faire collection et même, de temps à autres, des toitures pour faire bonne figure. C’est ainsi qu’un jour il arriva devant une superbe et haute montagne qui demeura imperturbable devant ses assauts répétés. Il y mit toute son énergie en vain. La montagne ne bougeait pas. Il finit par s’essouffler et dit, tout en rage, devant l’insuccès de ses efforts : « je voudrais être la montagne, elle est plus forte que le vent ».

    Et il devint montagne. Il jouit pleinement de sa stabilité puis, un jour, un bruit le tira de sa torpeur. Il n’en revint pas : un tailleur de pierre s’attaquait à l’une de ses parois. Il tenta de résister, rien n’y fit. Des pans de roche étaient détachés puis débités par le tailleur de pierres qui en façonnait divers objets.

    Pierre se dit : «  je voudrais être tailleur de pierres » il est plus fort que la montagne. 

    C’est ainsi que Pierre redevint tailleur de pierres mais cette fois, il sut apprécier son métier.

     

    Le tailleur de pierres

     

     

     


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    LA BEAUTE

    LA BEAUTE

     

    On ne doit pas se jeter sur la beauté pour l'accaparer, la manger, la salir, mais c'est un crime aussi de ne pas la chercher aussi pour la contempler.

    Si aujourd'hui les humains se servent de la beauté pour s'attirer mutuellement dans les précipices, ce n'est pas la faute de la beauté, ce sont eux qui ne sont pas assez purs; ils éveillent en eux un feu qui se met à fumer à cause de toutes leurs impuretés.

    La beauté ne doit pas faire tomber les humains. Elle doit les amener vers la divinité, les projetter jusqu'au ciel.

    Moi, je voudrais ne me nourrir que de beauté, et je vous le dis, si Dieu lui même n'était pas beau, s'il était seulement sagesse, amour et puissance, je ne l'aimerais pas autant. C'est parce qu il est beau que je l'aime et que j'aimerais être comme lui.

    Je ne suis attirée que par la beauté, mais la beauté pure, spirituelle, pas n'importe quelle beauté. Car j'ai une autre idée de la beauté, et souvent là où la plupart des gens voient une splendeur, je vois la laideur, et là où ils ne voient rien, je vois souvent une splendeur cachée.

    S'il n'y avait pas dans l'univers un principe cosmique, la mère divine, qui travaille pour conserver l'harmonie, la perfection des formes, les humains seraient devenus d'une laideur repoussante.

    Parce qu'avec la façon dont ils sont en train de vivre: dans le désordre, les jouissances, les batailles, sans avoir aucun idéal de se perfectionner, ils ne peuvent pas être beaux.

    suite ici:  www.prosveta.com/book/?ref=c0018fr

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    Connais-toi toi-même..." Toute la science, toute la sagesse est là : se connaître, se retrouver, la fusion du moi inférieur et du Moi supérieur. Le symbole de l'initié qui a réussi à se retrouver est le serpent qui se mord la queue. Le serpent qui rampe sur le sol est une ligne droite ou sinueuse, et cette ligne est limitée. Le serpent qui se mord la queue devient un cercle, et le cercle, c'est l'infini, c'est l'illimité, c'est l'éternité. L'homme qui a réussi à réaliser le symbole du cercle pénètre dans un monde où il n'y a plus de limites, où il n'y a plus de séparation entre le haut et le bas, car toutes les puissances, les richesses et les vertus que le vrai Moi, le moi supérieur possède s'infusent devant le moi inférieur. Le petit et le grand ne font plus qu'un et l'homme devient une divinité...

    L'esprit de l'homme est omniscient, tout-puissant et il participe à tout ce qui se passe dans l'univers. Mais comme ses organes physiques ne sont pas encore perfectionnés pour transmettre ces impressions à la conscience, l'homme lui-même ne sait rien, il ne sent rien. "Alors, direz-vous, que devons-nous faire, renforcer l'esprit, l'éclairer, l'éduquer?" Non, c'est du corps physique qu'on doit s'occuper pour le renforcer, le purifier, le spiritualiser, le diviniser.

    "Les alchimistes avaient raison de ne s'occuper que de la matière pour la transformer. Nous aussi, nous devons travailler dans ce sens, nous devons veiller à donner à notre corps physique une nourriture et des boissons pures, l'air pur, les rayons du soleil et même ce qui existe de plus beau comme formes, couleurs, sons, musiques, parfums. L'esprit, lui, n'a pas besoin de tout cela, il est partout, omniscient comme Dieu. C'est de notre matière que nous devons nous occuper pour la transformer; notre esprit aura ainsi de plus en plus de possibilités pour se manifester dans toute sa splendeur."

    Voilà encore une question qui n'est pas tellement bien comprise, même par les spiritualistes. On croit que c'est l'esprit qu'il faut purifier, ennoblir et, au contraire, négliger le corps physique, le mépriser même. Comme l'esprit se manifeste à travers le corps, d'une façon imparfaite, on croit que c'est l'esprit qui est imparfait et qui doit être développé, renforcé, purifié. Non, l'esprit est fait d'une matière subtile, lumineuse, indestructible; il est éternel, une étincelle sortie de Dieu, et il n'a pas besoin d'être instruit. C'est ce que l'on comprend avec le phénomène de la clairvoyance. Prenons par exemple le cas du clairvoyant américain Edgar Cayce. C'était un homme simple, presque sans instruction. Mais quand il était sous hypnose, il faisait preuve d'une immense science dans toutes les matières : la médecine, l'histoire... Il voyait aussi les réincarnations des gens, les crimes qu'ils avaient commis, les raisons pour lesquelles ils étaient dans tel ou tel état. Mais quand il revenait à lui, il ne se souvenait plus de rien. Ce qui prouve bien que lorsque son esprit a la possibilité d'échapper aux limitations du corps dans lequel il est enfermé, l'homme devient omniscient.

    L'esprit a des facultés infinies, mais il faut lui donner des conditions favorables pour se manifester. Il y a des cas aussi où certains êtres, des penseurs, des artistes surtout, entrent dans des états tellement extraordinaires d'inspiration et d'enthousiasme qu'ils arrivent à toucher des réalités sublimes, et quand ils reviennent de cet état, c'est à peine s'ils comprennent ce qui leur est arrivé. Cela prouve bien que si on améliorait dans l'homme, ses capacités de réception et de perception, si on le mettait dans des conditions où l'esprit peut se manifester davantage, on se rendrait compte des possibilités inouïes de l'esprit.

     

    Prenons aussi l'exemple d'un homme qui est mentalement retardé ou malade; son esprit, lui, n'est ni malade ni retardé, mais c'est l'organe au travers duquel son esprit doit se manifester, son cerveau, qui contient quelques anomalies. C'est exactement comme un virtuose auquel on donnerait un piano détraqué. Quoi qu'il fasse et quelle que soit sa bonne volonté, il n'en tirera que des sons épouvantables. Ce n'est pas le virtuose qui est fautif, c'est le piano. Le cerveau à travers lequel l'esprit doit se manifester est exactement comme le piano sur lequel doit jouer le virtuose. Donc, vous voyez, c'est sur le corps que l'on doit travailler pour le purifier, l'assouplir, parce qu'il est encombré de tellement d'impuretés et d'éléments hétéroclites que même l'esprit le plus évolué n'arrive pas à transmettre quoi que ce soit de sa lumière ou de sa force.  L'esprit est une étincelle divine, tous les pouvoirs, tout le savoir du Seigneur sont contenus dans sa quintessence, seulement il faut lui donner un instrument convenable. Le corps physique est justement un des instruments les meilleurs que Dieu ait donnés à l'homme, un instrument  d'une extraordinaire richesse, construit avec une sagesse inexprimable. Et voilà que certains ont méprisé et rejeté le corps physique parce que c'est de la matière, tandis que l'esprit, vous comprenez, l'esprit est noble, divin...

    Vous me direz, bien sûr, qu'actuellement les humains ont compris l'importance du corps physique. Oui, mais pas dans le sens où ils auraient dû comprendre : ils s'occupent du corps physique pour lui donner la nourriture, le confort, les plaisirs sexuels, pour le rendre séduisant, attirant, et non pour en faire un instrument de l'esprit et transmettre à travers lui, toute la sagesse céleste. Dans sa deuxième épître aux Corinthiens, saint Paul dit : " Vous êtes le temple du Dieu Vivant." Est-ce l'esprit ou bien le corps qui est le temple de Dieu. Ce n'est pas l'esprit qui peut être le temple puisqu'il est immatériel; l'esprit est l'officiant, celui qui fait la cérémonie. Le temple, c'est le corps physique. C'est clair, mais les chrétiens n'ont rien compris. Combien de choses sont dites dans les Évangiles et dont il faut encore éclairer le sens!

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    L'esprit est fils de Dieu, un principe immortel. Que pouvons-nous lui ajouter de plus? Mais le corps physique, c'est là notre travail! Nos difficultés, nos problèmes, nos souffrances, c'est le corps physique. Il faut le rendre tellement pur, tellement invulnérable, tellement inaccessible au mal et aux maladies, tellement vivant et subtil, qu'il devienne vraiment le porte-parole de l'esprit, un moyen d'expression pour tout le Ciel, afin que toutes les merveilles de l'univers puissent se manifester à travers lui. Pour le moment, bien sûr, le corps physique n'est pas un temple, mais une taverne où tout l'Enfer est invité à se régaler. On se sert de lui pour les choses les plus abominables, on pense qu'il est là pour ça. On ne sait pas de quoi, en réalité, il est capable : il est capable de guérir, il est capable de projeter des lumières, des parfums, de se déplacer dans l'espace... Vous verrez, un jour, on fera des merveilles avec le corps physique. Pour l'esprit, c'est très facile : quand il quitte le corps, qui est lourd et pesant, il peut aller partout, rien ne le retient, il va jusqu'aux étoiles, il pénètre les océans... Mais le corps n'est pas encore prêt pour de telles entreprises.

    Ce que je vous dis là est très important. L'histoire de l'humanité montre que très rarement les humains ont su quelle place ils devaient accorder  respectivement à l'esprit et au corps. Pour certains, il n'y a que l'esprit, et le corps est tellement négligé qu'il dépérit. Mais si le corps était tellement méprisable et que seul l'esprit comptait, on ne devrait pas descendre sur la terre, on devrait rester en haut, là où est l'esprit. Si on est descendu s'incarner sur la terre, c'est qu'il y a tout un travail à faire. La mission de l'esprit est de descendre, de prendre un corps physique pour travailler sur la terre, et la transformer en un magnifique jardin où le Seigneur viendra se promener. Si on devait rejeter la matière, qu'est-ce qu'on vient y faire? Pourquoi s'enfoncer dans cette matière si ce n'était pas pour la sublimer, pour la rendre lumineuse et transparente comme l'esprit? Quand Jésus disait : "Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel", lui aussi parlait pour que la splendeur de l'esprit descende dans la matière. Malheureusement, quand les humains s'incarnent sur la terre, ils ne se souviennent pas pourquoi ils sont descendus et ils s'en retournent en haut après avoir tout saccagé et tout sali.

    Il arrive maintenant une nouvelle époque où les humains doivent faire un travail gigantesque en s'adaptant aux nouveaux courants qui viennent du Ciel. C'est la terre qui compte maintenant, il faut améliorer la terre, le corps physique, la matière, il faut tout sublimer en faisant descendre l'esprit, car c'est l'esprit qui anime, c'est l'esprit qui illumine... Il faut projeter l'esprit sur la matière pour que la matière devienne esprit. Faites pénétrer votre pensée, qui est une partie de l'esprit, dans toutes les cellules de votre corps et vous verrez comment tout va être transformé!

    Cette question de l'esprit et de la matière est infinie, car, sous d'autres formes, l'esprit et la matière, c'est l'homme et la femme, le positif et le négatif, l'émissif et le réceptif, le ciel et la terre. Rien n'est plus important que ces deux principes. Mais il faut comprendre quels sont leur place et leur rôle respectifs pour ne pas privilégier l'un au détriment de l'autre. Les humains ont toujours tendance à aller dans les extrémités : ou ils sont seulement pour l'esprit et ils négligent la matière, ou ils sont seulement pour la matière et l'esprit est parti. C'est ce qui se produit à l'heure actuelle. On s'occupe de la matière sans y introduire l'esprit et la matière reste inerte, inanimée. Tandis qu'en y introduisant la vie, elle devient expressive. La preuve, pourquoi un homme ou une femme peuvent-ils être tellement attirants, tellement expressifs? À cause de l'esprit qui est en eux et qui anime leur matière. Et c'est tellement vrai que, lorsque l'homme meurt, la matière de son corps non seulement n'est plus vivante, mais commence à se putréfier. C'est l'esprit qui fait tout à travers la matière. La matière est morte sans l'esprit...Omraam Mikhaël Aïvanhov   Extrait /CONNAIS-TOI TOI-MÊME JNANI YOGA 

    Source provesta...http://www.prosveta.com/product_detail.phtml?id=18

    http://consciencecosmique.e-monsite.com/pages/connais-toi-toi-meme/

     

     


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