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    Dans la forêt enchantée, deux elfes conversent.

    De quoi parlent-il de lutins malins qui déversent,

    Un nectar délicieux, dans la plus jolie des fleurs.

    Deux lucioles se mêlent à la fête du bonheur

     

    Et dans ce tumulte joyeux

    D'éclats de rire et de bonne humeur

    Les fées, malicieuses se joignent à eux

    Et festoient durant des heures.

     

    Sous la frondaison de la forêt,

    Un petit troll s'est un peu égaré.

    Pas de peur petit, tu es invité aussi,

    A la grande fête de l'amitié, je te conduis.

     

    Dans notre monde, tu te sentiras bien

    Nous serons toujours à tes côtés

    Ces soirs où seul tu pleureras sur ton lit allongé

    Tu nous trouveras car tes rêves sont sans fin

     

     

    Aujourd'hui, ce soir, tu ne t'es pas perdu

    Tu t'es juste égaré, et pour nous retrouver

    Petit troll tu n'as eu tes yeux qu'à les fermer

    Nous, fruit d'un amour déchu.

     

     

    Tendre peuple de la forêt enchantée,

    Amis des contes et de livres de fées.

    La joie de vivre a triomphé.

    Dans une fête des bois de l'amitié.

     


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    TERRA DIVINA

    TERRA DIVINA

     

    TERRA DIVINA

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    O Fontaine de Vérité d'Amour,

    Toi qui, de ce monde, n'es point,

    O Corne, Rayon lumineux,

    En ta belle âme quel Coeur Pur peut voir,

     

     

    Quintessence de la dualité,

    L'unifi.ante " Dame Blanche ";

    Licorne, par l'Arbre de Vie,

    Source de Vie par l'axiale Licorne.

     

     

    Par le Cheval cornu, le Fabuleux,

    Céleste Rayon lumineux,

    O Fée des Eaux des Pleurs du Ciel,

    Fertilise l'aride sécheresse!

     

     


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    Quelque part en Bretagne...

     

    Il était une fois,

    Une merveilleuse légende,

    Il était une fois,

    Une forêt enchantée, Brocéliande,

     

    Royaume de l’imaginaire,

    Des conteurs et croyances populaires,

    Me voici, quelle aventure,

    Sur les traces du Roi Arthur,

     

    Théâtre des fées et des magiciens,

    Cet endroit unique a également abrité,

    Les amours de Viviane et de Merlin,

    Lié par un sortilège pour l’éternité,

     

    Pour commencer ce beau voyage je suis arrivée,

    Sur le site mythique de la Fontaine de Barenton,

    Où pour la première fois se sont rencontrés,

    L’Enchanteur et sa belle avant de s’aimer à l’unisson,

     

    Fou d’amour, à Concoret il édifia pour elle,

    Toute en cristal, une citadelle,

    Mais la Dame du Lac par sa passion dévorée,

    Ne put bientôt du temporel se contenter,

     

    Forte du savoir que lui inculquât le magicien,

    À la Fontaine de Jouvence elle envoûte Merlin,

    De 9 cercles magiques il fut ainsi emprisonné,

    Si épris qu’à jamais il se laissât enfermer,

     

    On ne peut que compatir à la triste fin,

    De ce personnage hors du commun,

    Condamné à rester pour toujours,

    Au bien nommé Val Sans Retour,

     

    En poursuivant ma route, j’ai découvert,

    Un lieu tout à fait extraordinaire,

    L’Arbre d’or où le Miroir aux fées dans lequel,

    Se reflètent les caprices du ciel,

     

    La brume et le soleil,

    À travers le feuillage,

    M’offraient une vision exceptionnelle,

    De cet étrange paysage,

     

    Maintenant penchée au-dessus de l’Étang des Forges,

    Je crus voir en son reflet un visage,

    Ma tête d’idées foisonne et regorge,

    Mais dit-on Morgane n’est jamais loin du rivage,

     

    Puis dans les sous-bois j’entendis,

    Comme de légers craquements,

    Suivis de rires et de petits cris,

    Serait-ce le bruissement du vent ?

     

    Ou bien les pas d’un petit lutin,

    Ceux de la fée Morgane,

    Peut-être le sieur Merlin,

    Ou encore sa muse Viviane ?

     

    Il régnait ici une ambiance particulière,

    Une bien curieuse atmosphère,

    Où ma galopante imagination,

    M’emportait dans un tourbillon,

     

    J’avais soudain la fièvre,

    Pensez que j’aurais pu rencontrer,

    Le Chevalier Lancelot ou la Reine Guenièvre,

    Mais je délire totalement envoûtée,

     

    Je me faisais encore quelques frayeurs,

    À l’idée de croiser la silhouette de l’Enchanteur,

    Ce n’est certes pas arrivé,

    Mais j’avoue que le charme a opéré,

     

    Ce parcours insolite fut captivant,

    Et même si cette histoire est une légende,

    Elle m’a permis de rêver, tout simplement,

    Au cœur de la Forêt de Brocéliande !

     

     


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    Le soleil sous la mer, mystérieuse aurore,

     

    Eclaire la forêt des coraux abyssins

     

    Qui mêle, aux profondeurs de ses tièdes bassins,

     

    La bête épanouie et la vivante flore.

     

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    Et tout ce que le sel ou l’iode colore,

     

    Mousse, algue chevelue, anémones, oursins,

     

    Couvre de pourpre sombre, en somptueux dessins,

     

    Le fond vermiculé du pâle madrépore.

     

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    De sa splendide écaille éteignant les émaux,

     

    Un grand poisson navigue à travers les rameaux ;

     

    Dans l’ombre transparente indolemment il rôde ;

     

    Et, brusquement, d’un coup de sa nageoire en feu

     

    Il fait, par le cristal morne, immobile et bleu,

     

    Courir un frisson d’or, de nacre et d’émeraude.

     


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