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Par virtuellife le 24 Octobre 2010 à 21:17
Princesse des forêts déesse des ténèbres,
Majestueuse et fière, s'approche sans bruit,
Mélange de souplesse, de charme et de mystère,
Avec ses griffes acérées et ses yeux jaunes,
Croise donc son regard et ton âme frissonne,
Elle fascine...
Evy
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Par virtuellife le 24 Octobre 2010 à 21:32
Brocéliande, la forêt des mirages, et des illusions, forêt des fées,
La rumeur l'affirme, et court depuis neuf cent ans, à travers les romans du moyen âge,
Qui donc toute l'europe ont fait rêver de chevaliers, de fées, de fontaines magiques,
Ou dans les récits transmis au coin du feu, pleins de diableries, de sorcieres et de personneges de legende,
Depuis tout ce temps, essayer d'imaginer cette forêt, et si l'envie vous prenait allez visiter,
Pour peut être rencontrer, la fée verte aux yeux hypnotiques,
Elle plonge sont regard profond de l'un à l'autre,
Fée déesse de la nature, irradiant d'une beauté lumineuse,
Vous sentirez ses yeux hypnotiques pénètrer vôtre âme...
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Par virtuellife le 24 Octobre 2010 à 22:02
Ô vieux miroir éttrange, ô vieux miroir aux reflets de la vie,
Miroir magique, fenêtre ouverte sur d'autres mondes extraordinaires,
Aux féeries étranges, aux êtres maléfiques ou magiques,
Traverser le miroir, pour voir et y croire,
Aventure fantastique, rêve magique...
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Par virtuellife le 24 Octobre 2010 à 22:21
La Faune
Et toi, que manges-tu, grouillant ?
— Je mange le velu qui digère le pulpeux qui ronge le rampant.Et toi, rampant, que manges-tu ?
— Je dévore le trottinant qui bâfre l’ailé qui croque le flottant.Et toi, flottant, que manges-tu ?
— J’engloutis le vulveux qui suce le ventru qui mâche le sautillant.Et toi sautillant que manges-tu ?
— Je happe le gazouillant qui gobe le bigarré qui égorge le galopant.Est-il bon, chers mangeurs, est-il bon le goût du sang ?
— Doux, doux ! tu ne sauras jamais comme il est doux, herbivore !
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Par virtuellife le 24 Octobre 2010 à 22:41Veillez sur moi, quand je m'éveille,
Bon ange, puisque Dieu l'a dit,
Et chaque nuit, quand je sommeille,
Penchez-vous sur mon petit lit;
Ayez pitié de ma faiblesse,
A mes côtés marchez sans cesse,
Parlez-moi le long du chemin;
Et pendant que je vous écoute,
De peur que je ne tombe en route,
Bon ange, donnez-moi la main.
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