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Par virtuellife le 29 Octobre 2010 à 15:02
L'Atlantide est utopique,
Si vous trouvez cela cynique,
C'est que vous savez la vérité
Sur sa soudaine obscurité.Toutes nos craintes sont fondées,
Vous pouvez donc abandonner
Tous vos espoirs éphémères ;
La vie est sombre et amère.Notre futur est incertain
Et si notre monde parvint
A survivre à l'humanité,
Il aura tout de même changé.Méfiez-vous des apparences,
Ne croyez plus en l'innocence,
Nous avons définitivement
Perdu nos belles âmes d'enfant.
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Par virtuellife le 1 Novembre 2010 à 11:18
Dans la mythologie grecque, Prométhée vola le feu aux Dieux pour le donner aux hommes. Pour se venger, Zeus ordonna à Vulcain de créer une femme faite de terre et d’eau. Elle reçut des Dieux de nombreux dons : beauté, flatterie, amabilité, adresse, grâce, intelligence, mais aussi l’art de la tromperie et de la séduction. Ils lui donnèrent le nom de Pandore, qui en grec signifie "doté de tous les dons". Elle fut ensuite envoyée chez Prométhée. Epiméthée, le frère de celui-ci, se laissa séduire et finit par l’épouser. Le jour de leur mariage, on remit à Pandore une jarre dans laquelle se trouvaient tous les maux de l’humanité. On lui interdit de l’ouvrir. Par curiosité, elle ne respecta pas la condition et tous les maux s’évadèrent pour se répandre sur la Terre. Seul l’espérance resta au fond du récipient, ne permettant donc même pas aux hommes de supporter les malheurs qui s’abattaient sur eux. C’est à partir de ce mythe qu’est née l’expression "boîte de Pandore", qui symbolise la cause d’une catastrophe.
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Par virtuellife le 1 Novembre 2010 à 11:31
Les secrets, si secrets, qu’on les garde pour soi Sont une part de soi même, comme un second moi. Lorsqu’on les partage avec celle qu’on aime
C’est l’autre qui devient une part de soi même.
Les rêves sont le fruit de notre esprit qui vole Ils s’installent en nous comme valeur de symbole Que l’on rêve éveillé où qu’on rêve en dormant C’est une lampe allumée dans notre subconscient.
Les souffrances sont pour nous le pire des fléaux Morales ou bien physiques, c’est une cascade de maux
Où il faut souvent mettre sa force et sa vigueur Pour pouvoir l’endiguer et surmonter le malheur.
Les sourires émerveillent et éclairent nos visages Traduisent les sentiments des bienheureux présages Et quand ils sont secrets ils donnent aux rêves la chance
De pouvoir oublier nos moments de souffrance.
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Par virtuellife le 1 Novembre 2010 à 11:47
Les choses mystérieuses ne s'expliquent que par des choses plus mystérieuses encore.
Le monde est inexplicablement mystérieux et plein de souffrance.
La faculté de rêverie est une faculté divine et mystérieuse ; car c'est par le rêve que l'homme communique avec le monde ténébreux dont il est environné.
Mystérieux jardin de ma lointaine enfance, Royaume ensorcelé perdu dans la distance.
La plus belle chose que nous puissions éprouver, c'est le côté mystérieux de la vie.
La vie, ce concept mystérieux, est ramenée à la présence d'ADN. Il n'y a plus de frontière entre matière animée et inanimée. Tout n'est qu'une question de degré de complexité.
Le noir, c'est la négation de la lumière, de l'ombre et notre double si mystérieux.
La réalité est une chose mystérieuse et fluctuante, car la perception que nous en avons ne reste jamais la même.
Seul l'amour sait écouter le mystérieux et inaudible murmure de l'âme.
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Par virtuellife le 1 Novembre 2010 à 13:31
Homme libre, toujours tu chériras la mer!
La mer est ton miroir, tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.Tu te plais a plonger au sein de ton image;
Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur
Se distrait quelquefois de sa propre rumeur
Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage.Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets;
Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes;
O mer, nul ne connaît tes richesses intimes,
Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets!Et cependant voilà des siècles innombrables
Que vous vous combattez sans pitié ni remords,
Tellement vous aimez le carnage et la mort,
O lutteurs éternels, O frères implacables!
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